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- Indicateur d’Etat global de la population d’Aloses en 2024
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La publication d’un indicateur d’état global de la population d’Aloses en Rhône Méditerranée nécessite un suivi pluriannuel de l’évolution des indicateurs de colonisation locaux.
Le Secrétariat technique du COGEPOMI a validé la nécessité d’un retour d’expérience d’au moins 5 ans sur ces indicateurs locaux avant de pouvoir envisager la publication d’un indicateur d’état global de la population d’Aloses feintes de Méditerranée.
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Téléchargement des données
Les indicateurs Aloses sont calculés à partir de données récoltées annuellement par MRM et ses nombreux partenaires technique. Vous pouvez accéder sans restriction à la base de données complète en remplissant ce formulaire :

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Durance
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Durance
Population :
En 2024, la Durance a vu des niveaux d’eau élevés qui n’ont pas permis la mise en place du suivi de la reproduction. Ces conditions n’ont également pas encouragé les pêcheurs à se rendre au bord de l’eau. Le prélèvement ADNe réalisé en aval du seuil 68 dans le cadre du suivi de la Lamproie Marine permet toutefois d’attester de la présence de l’Alose sur le secteur. Il n’est en l’état pas possible d’attribuer une couleur à la pastille population.
Continuité :
Sur l’axe Durance, les Aloses feintes de Méditerranée sont bloquées chaque année en aval du seuil de Callet (n°68), situé à 7 km de la confluence avec le Rhône. Cet obstacle est totalement infranchissable pour l’espèce. La restauration de la continuité au droit de cet ouvrage est un enjeu majeur pour la sauvegarde de l’espèce, car de nombreuses zones de frayères potentielles sont situées au delà du seuil 68, sur le secteur amont de la ZAP. En l’état, les aloses sont contraintes de frayer sur une unique frayère de substitution située à l’aval du seuil 68. Des projets de restauration de la continuité écologique sont en cours sur les seuils 68, 67 et 66, ainsi que sur le barrage de Bonpas. L’ouvrage de Courtine, à la confluence avec le Rhône a été repris lors de l’été 2023.
Hydrologie :
L’hydrologie de la Durance lors de la saison 2024 a été soumise à d’importantes restitutions et a oscillé entre 200 et 400 m3/s.
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Gardon
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Gardon
Population :
6 nuits de suivis de la reproduction ont été mises en œuvre entre Remoulins et Collias. Trois d’entres elles ont été actives et ont permis l’observation de 18 bulls d’alose, une première depuis la reprise de la passe à poissons de Remoulins. 65 aloses ont été capturées, majoritairement en aval de l’ouvrage de Bonicoli. La CPUE est en hausse, témoin d’une colonisation plus abondante de l’axe Gardon au printemps 2024. Les prélèvements ADNe, réalisés alors que les débits étaient élevés (env. 60m3/s) ont permis de détecter la présence de l’alose en amont de l’ouvrage de Remoulins. Ces résultats sont encourageants et les suivis méritent d’être poursuivi sur cet axe.
Continuité :
De nombreux ouvrages ont été aménagés sur le Gardon ces dernières années (dont le seuil de Remoulins en 2022). Le linéaire accessible sur le Gardon s’étend actuellement jusqu’à l’ouvrage de Collias. L’aménagement de ce dernier permettrait aux aloses de coloniser la totalité des frayères présentes sur la ZAP.
Hydrologie :
L’hydrologie de l’année 2024 a été marquée par plusieurs de hausses du débit. La hausse des niveaux d’eau que ce soit sur le Gardon ou le Rhône a permis la colonisation du Gardon.
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Ouvèze
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Ouvèze
Population :
Le dispositif de vidéo-comptage au niveau de l’ouvrage de la confluence Rhône / Ouvèze a permis de dénombrer 8 aloses. Le suivi sur plusieurs années serait nécessaire pour mieux appréhender la colonisation de cet axe. La présence de l’alose sur l’Ouvèze a également été démontrée grâce à des prélèvements ADNe. Depuis la reprise de la passe en 2021, un seul retour de pêcheur nous permet d’identifier une capture d’alose à la ligne sur ce secteur en 2024. Il est à ce jour trop tôt pour conclure quant à l’état de la colonisation sur ce secteur
Continuité :
La ZAP Alose s’étend jusqu’à la confluence avec la Sorgues. Cette dernière contient deux ouvrages (seuil de la confluence, équipé d’une PAP; et le seuil de Faysses jugé franchissable). L’étude de la fonctionnalité de la passe de la confluence est actuellement en cours. On retrouve une ZALT sur l’Ouvèze qui s’étend jusqu’au pont de Beauregard où il n’y a pas d’ouvrage. En revanche, selon les saisons, des zones d’assecs peuvent apparaître dès le printemps sur ce secteur de ZALT.
Hydrologie :
L’hydrologie printanière a été favorable à la colonisation de l’axe.
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Cèze
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Cèze
Population :
La saison de suivi des aloses 2024 sur la Cèze se distingue par deux événements : la présence attestée des aloses par pêche à la ligne et prélèvements ADNe jusqu’au cascades du Sautadet et de plusieurs coups d’eau qui ont pu rendre les suivis difficiles. Les prospections mises en place en aval des cascades du Sautadet ont permis l’observation de géniteurs et d’un bull ! Sur la frayère de Chusclan le suivi de la reproduction a pu être mis en place seulement lors de 13 nuits, et parfois dans de mauvaises conditions d’écoute. Il n’a pas permis d’observer de bulls d’Alose. En parallèle, les enregistreurs passifs disposés sur la frayère ont permis la détection de quelques bulls. Les signaux sur ce territoire sont encourageants : ils montrent une colonisation sur l’ensemble de la ZAP et l’utilisation d’au moins deux frayères.
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Ardèche
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Ardèche
Population :
Les aloses étaient présentes sur l’Ardèche en 2024. Des bulls ont été observés à la Piboulette, et deux bulls ont été observés à Petite Mer, témoin que les aloses ont profités d’une hydrologie à la hausse pour franchir l’ouvrage de Saint Martin d’Ardèche. Néanmoins, malgré les efforts déployés pour le suivi de la reproduction peu de bulls ont été observés. Les observations rapportées en 2024 sont assez peu nombreuses. Cependant elles permettent de démontrer la colonisation de l’Ardèche.
Continuité :
Malgré des signaux de présence des aloses jusqu’à Vallon Pont d’Arc en 2024, la couleur de la pastille continuité est jaune par volonté de souligner la nécessité de gestion de l’atterrissement formé en amont immédiat de la passe à poissons de Saint-Martin. Cet atterrissement réduit considérablement les débits transitant par la PAP, la rendant difficilement utilisable par les poissons dans des conditions hydrologiques variables.
Hydrologie :
Comme pour le Gardon et la Cèze, les débits de l’Ardèche ont beaucoup varié lors du printemps 2024 avec plusieurs épisodes de crues.
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Vidourle
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Vidourle
Population :
La CPUE est en hausse sur le Vidourle en 2024 et l’ADNe a permis de montrer que le fleuve a été colonisé jusqu’en aval de la Roque d’Aubais. Le suivi de la reproduction a permis l’observation d’assez peu de bull en comparaison de la chronique disponible (cependant les conditions hydrologiques rencontrés au printemps 2024 ont impacté la mise en place du suivi de la reproduction). Cependant, la mise en place d’enregistreurs passifs sur ce secteur ont permis de comptabilisés plus de 100 bulls sur la frayère de Villetelle.
Continuité :
La quasi-totalité de la ZAP alose est accessible sur le Vidourle. Il convient de souligner que le nombre de frayères disponibles sur le Vidourle reste limité. En ce sens, le projet de restauration du milieu, porté par l’EPTB, sera également bénéfique pour les aloses.
Hydrologie :
Hydrologie soutenue sur le Vidourle en 2024, plusieurs coups d’eau sont survenus pendant la saison de reproduction des aloses.
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Hérault
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Hérault
Population :
En 2024, 580 aloses ont été comptabilisées au vidéo-comptage, ce qui représente une année moyenne. 89 aloses ont été capturées au droit de l’ouvrage de Bladier Ricard, la CPUE sur ce site est de 1,58, soit la meilleure CPUE enregistrée sur ce site depuis 2016. Les prélèvements ADNe réalisées en aval du moulin de Conas et de l’ouvrage de Castelneau n’ont pas permis de retrouver l’alose. Comme les années précédentes, aucun signal de présence en amont de l’ouvrage de Saint-Thibéry nous a été rapporté. Il semble que le nombre d’aloses présentes sur l’Hérault était important en 2024 mais que ces dernières n’ont pas accès aux zones de fraies de bonne qualité.
Continuité :
Aucun signal Alose n’a été détecté en amont de Saint-Thibéry. Les possibilités de franchissement de cet ouvrage mériteraient d’être étudiées.
Le moulin de Conas, 4e ouvrage a la mer a été réhaussé sans autorisation et a jugé difficilement franchissable par l’OFB en 2020.Hydrologie :
L’Hérault a présenté une situation hydrique critique au printemps (sous le débit minimum biologique). Quelques pluies survenues au mois de juin ont permis tardivement une hausse du niveau.
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Orb
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Orb
Continuité :
A noter que sur les années précédentes, le signal alose est régulièrement perdu entre Moulin St Pierre et Pont Rouge et aucune observation n’est parvenue au-delà de Pont Rouge. Un projet de vidéo-comptage est actuellement porté par l’EPTB ce qui pourrait permettre d’acquérir des notions de fonctionnalité des ouvrages de franchissements piscicoles.
Les zones de frayères les plus intéressantes sont situées sur le secteur classé en ZALT. Les premières frayères intéressantes sont situées en amont de l’ouvrage de Gaston Doumergue, dernier seuil de la ZAP à équiper.
Hydrologie :
L’Orb a présenté des débits assez élevés sur la période de montaison
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Aude
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Aude
Population :
L’activité de reproduction sur l’Aude a été du même ordre de grandeur cette année en comparaison des années précédentes. La pastille « reproduction » reste non définie car l’année 2023 était la 4e année de suivi, une couleur peut être appliquée dès la 5e année de suivi. L’activité de pêcherie amateur s’affaiblit depuis quelques années, mais les résultats sont stables sur cet axe L’Aude reste un secteur clef sur cette partie du bassin méditerranéen pour la colonisation des aloses
Continuité :
Aucun signal alose a été observé en amont de Moussoulens en 2024. La partie aval de l’Aude présente peu d’intérêt pour la reproduction de l’Alose, avec une seule frayère accessible en aval de Moussoulens. Une reprise de la passe à poissons de ce seuil permettrait de faire évoluer cet état de fait.
Hydrologie :
L’hydrologie de l’Aude a montré une hydrologie plus soutenue que la moyenne au mois de mai, suivi d’une période d’étiage en juin. Lors du mois de juin, des variations infra-journalière de débits sont observées due à la gestion quantitative du secteur. L’impact de cette gestion sur la reproduction des aloses méritent d’être appréhender.
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Têt
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Têt
Population :
55 bulls ont été observés sur la Têt en début et fin de saison au passage à gué de Villelongue. Suite à quelques pluies, le débit de la Têt a augmenté autour du 10 mai 2024, permettant le franchissement des passages à gué et la colonisation du fleuve jusqu’au seuil SNCF. Aucun nouveau site de reproduction d’aloses n’a pu être identifié au delà de l’ouvrage de Villelongue. Les recherches de frayères actives méritent d’être poursuivies.
Continuité :
En 2024, les aloses ont été observées jusqu’en aval du seuil SNCF. Lorsque le projet de restauration de la continuité écologique de ce seuil sera finalisé, les aloses auront accès à la totalité de la ZAP qui s’arrête au seuil du Soler 1 exclu. Le linéaire entre les deux seuils du Soler est classé en ZALT.
Hydrologie :
Les pluies survenues au début du mois de mai ont donné un nouveau souffle à la Têt. Cependant, la situation hydrique est restée très critique sur le territoire des Pyrénées Orientales.
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Agly
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Agly
Continuité :
Les deux ouvrages présents sur la ZAP alose ne sont pas équipés. Les frayères intéressantes ne sont pas accessibles aux aloses. En 2024 : le lido est resté formé tout au long de la saison, empêchant une entrée potentielle dans le fleuve.
Hydrologie :
Le cours de l’Agly est en rupture d’écoulement depuis novembre 2022. Sur la période 2023-2024, l’Agly est resté en assec sur plus de 40km.
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Tech
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Tech
Population :
5 aloses ont été capturées par pêche à la ligne, nous permettant d’attester de la présence des aloses au droit du Pont d’Elne. Des bulls ont également été observées lors d’une nuit de prospection.
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Argens
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Argens
Population :
Peu de données sont actuellement disponibles sur le bassin de l’Argens. Une crue survenue en début de saison a engendré des problèmes techniques sur la passe à poissons (résolu en cours de saison) et sur le dispositif de vidéo-comptage.
Continuité :
Les aloses ont aujourd’hui accès à l’Argens jusqu’au seuil du Béal. L’aménagement d’un ouvrage de franchissement sur ce dernier permettrait aux aloses d’avoir accès à l’ensemble de la ZAP et aux frayères. L’ouvrage du Verteil, premier obstacle depuis la mer semble s’engraver régulièrement lors de crues.
Hydrologie :
L’Argens a comme d’autres cours d’eau du territoire connu plusieurs coups d’eau au printemps qui ont permis de rouvrir l’embouchure. Les débits son restés soutenus tout au long de la saison.
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Montaison des Aloses sur le Rhône
Voie de passage pour rejoindre les affluents, il a été collégialement décidé de ne pas attribuer de pastille de couleur pour le fleuve Rhône. Cependant, les situations hydriques rencontrées influent sur la migration des aloses.
L’année 2024 est caractérisée par des débits élevés, que ce soit sur le Rhône ou ses affluents. Ce type de caractéristiques hydrologiques est associé à un schéma de migration aval où les aloses colonisent préférentiellement les affluents aval, comme ce fut le cas sur le Gardon. Cependant, on note des signaux de présence de l’alose sur l’amont de la ZAP de la Cèze, en amont des gorges de l’Ardèche et sur le Vieux Rhône de Montélimar.
Le point d’observation le plus haut sur le Rhône est cette année le vieux Rhône de Montélimar. A Avignon et Caderousse, les éclusages à poissons et enchaînés réalisés ont permis de respecter les consignes. A Beaucaire, des contraintes techniques ont limités le nombre d’éclusage réalisé ( à noter qu’elles ont été réalisées de manière bien repartie tout au long de la saison, il y a également eu plus d’éclusage à bateau sur cette période à Beaucaire qu’à Avignon et Caderousse).
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Vieux Rhône de Donzère
Les signaux de présence de l’Alose feinte de Méditerranée sont corroborés uniquement par des observations visuelles. Le suivi de la reproduction a été particulièrement difficile à mettre en place à cause des débits élevés du Rhône lors de la saison. Sur ce secteur, l’effort de pêche est très peu élevé et aucune capture n’est à souligner.
Aucune alose n’a été observée par vidéo-comptage franchissant le barrage de Donzère ce qui appuie les enjeux liés à la reprise de la passe à poissons du barrage de Donzère.
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Site de Sauveterre
1901 aloses ont été comptabilisées au vidéo-comptage, loin du maximum observé de 4242 aloses en 2022. La CPUE est en baisse en aval de l’ouvrage de Sauveterre, certainement due aux conditions de pêches défavorables rencontrées en aval de l’ouvrage en 2024 (hydrologie soutenue).
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Incertitude sur les prélèvements d’aloses en mer
À l’heure actuelle, il existe une incertitude sur l’impact de la pêche en mer sur l’Alose de Méditerranée. L’espèce est parfois retrouvée en criée, mais elle n’est pas ciblée spécifiquement. Il serait pertinent d’obtenir des données fiables sur le tonnage d’aloses feintes pêchées en Méditerranée, pour relativiser les fluctuations observées sur les suivis continentaux.